Ils ne se ressemblent pas vraiment : des hommes, des femmes, de 24 à 34 ans, ronds, minces, blonds, bruns… Le soleil colore les rires du jeu que mènent les cartes qu’ils ont dans les mains. Parfois, comme le passage rapide d’un insecte, on entend le – clic – de l’appareil photos qui espère qu’on n’oubliera pas cette journée, sur l’herbe recouverte de tissus apportés par chacun et dont les motifs se perdent au milieu des saladiers et des gobelets.
De temps à autres, c’est plus fort qu’eux, ils parlent boulot, le chromosome qui les unit tous les uns aux autres. Nos gamins, nos emplois du temps, leurs réforme et donc, ce qui nous attend mais qu’une fois encore, personne ne comprend.
Plusieurs heures ainsi, simplement, avec les collègues, avec les amis…
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